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mercredi 30 janvier 2013

Actualités du financement : encore des concours, pour tous, pour les femmes, pour l'innovation...

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- Avant le 26 février : grand concours Oséo pour les entreprises innovantes – jusqu’à 450K€ d’aide financières

Deux catégories auxquelles concourir :
- les projets "en émergence" (encore en phase de maturation, de validation technique, économique et juridique) : subvention d'un montant maximum de 45 000 euros ;
- les projets "création-développement" (preuve du concept déjà établie) : aide d'un montant maximum de 450 000 euros, destinée à financer une partie du programme d'innovation.

Renseignements : http://www.oseo.fr

- Avant le 8 mars: vous être une femme entrepreneur ? Postulez aux Cartier Women’s Initiative Awards

Les conditions : une entreprise novatrice de moins de 3 ans, portée par une femme, parlant anglais.

Renseignements : http://www.cartierwomensinitiative.com/how-to-apply/criteria


- Avant le 31 mars: gagnez de la visibilité en remportant le Start-up contest

Peu de conditions : toutes les entreprises créées depuis 2009 sont les bienvenues…

Renseignements : http://www.startupcontest.fr
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mardi 22 janvier 2013

L'actualité : awards, programme d'incubation, fonds d'investissement...

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- Avant le 28 janvier : étudiant ou jeune chercheur ? Rejoignez la 11ème édition des Innovact Campus Awards


L’objectif ? Un accompagnement pour votre projet, des dotations financières (jusqu’à 5.000€) et une couverture médiatique très large.

- Avant le 31 janvier : entreprise dans le secteur de la mobilité connectée ? Rejoignez l’Incubateur créé par Renault et Paris Region Lab
  
Infomobilité, voiture connectée, applications mobiles utilisables au volant… ? soumettez votre projet et bénéficiez d’un accompagnement, d’une expertise et d’une visibilité de 1er ordre avec de grandes entreprises du domaine.



- Les 6 & 7 février : rappel - salon des entrepreneurs à Paris : 20 fonds d’investissement, 20M€ !

En plus des informations et conseils à destination des start-up et TPE/PME, ces-dernières auront la possibilité de rencontrer des investisseurs, qui mobilisent 20 millions d'euros pour l'occasion.

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mercredi 16 janvier 2013

Un rappel sur le statut de JEI

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Conditions pour bénéficier du statut de JEI (Jeune Entreprise Innovante)


- employer moins de 250 salariés. L'effectif pris en compte est celui des salariés employés dans l'entreprise, tous établissements confondus, au cours de chaque exercice, apprécié selon les règles générales de détermination de l'effectif de l'entreprise fixées par les articles L. 620-10 et L. 620-11 du Code du travail ;

- réaliser un chiffre d'affaires inférieur à 40 millions d'euros au cours de l'exercice, ramené ou porté le cas échéant à 12 mois, ou disposer d'un total de bilan inférieur à 27 millions d'euros ;

- avoir été créée depuis moins de 8 ans (peu importe que l'entreprise ait été constituée après l'entrée en vigueur de la loi de finances pour 2004 ou qu'elle existait déjà à cette date). Dès son 8e anniversaire, l'entreprise perd le statut de jeune entreprise innovante ;

- consentir un certain volume de dépenses de recherche, représentant au moins 15 % des charges totales de l'exercice (à l'exclusion des charges engagées auprès d'autres jeunes entreprises innovantes réalisant des projets de recherche et de développement) ;

- être détenues majoritairement par des personnes physiques, par des personnes morales répondant aux mêmes conditions que celles imposées aux jeunes entreprises innovantes et dont le capital est détenu pour 50 % au moins par des personnes physiques, par des associations ou fondations reconnues d'utilité publique à caractère scientifique, par des établissements publics de recherche et d'enseignement ou leurs filiales, par des sociétés de capital risque, des fonds communs de placement à risque, des sociétés de développement régional, des sociétés financières d'innovation ou encore des sociétés unipersonnelles d'investissement à risque ;

- être à jour de ses obligations de déclaration et de paiement à l'égard de l'Urssaf. Sont visées les cotisations de Sécurité sociale et contributions à la charge de l'employeur et du salarié, les cotisations et contributions au Fonds national d'aide au logement (Fnal), ainsi que le versement de transport et la contribution solidarité autonomie.

- créer ou avoir créé une activité réellement nouvelle. Cette condition n'est pas remplie lorsque l'entreprise est née de la concentration, de la restructuration ou de l'extension d'activités préexistantes ou lorsqu'elle reprend de telles activités.

Cotisations concernées


L'exonération porte sur la totalité des cotisations patronales de Sécurité sociale dues sur les rémunérations. Restent dues les autres cotisations et contributions à la charge de l'employeur (Fnal, versement de transport, retraite complémentaire, contribution solidarité autonomie...) et l'ensemble des cotisations salariales. L'exonération n'est applicable qu'à certaines catégories de salariés exerçant des fonctions précises dans l'entreprise (chercheurs, techniciens, les gestionnaires de projet de recherche et de développement, etc.)
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mardi 15 janvier 2013

Nouvelle forme d’investissement public : les actions sans droit de vote

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Le pacte de croissance propose la création d’une nouvelle forme d’investissement sous la forme d’actions de préférence sans droit de vote. Ce financement serait désormais proposé par la branche « capital risque » de la BPI (Banque publique d’investissement).

Pour compenser la suppression des droits de vote, le capital investi percevrait une rémunération privilégiée.

Facile à mettre en place, ce type d’investissement est à l’intersection entre les actions à droit de vote souscrites aujourd’hui par CDC Entreprises et les obligations convertibles assorties de bons de souscription d’actions proposées par Oséo.

Ce nouveau financement permet ainsi de renforcer les fonds propres des PME, conditionnant souvent l’accès à certaines subventions ou marchés publics. Contrairement aux obligations, il n’existe pas de contrainte de remboursement du capital à date fixe. Les actionnaires prééxistants peuvent également garder le contrôle sur leur société, quand bien même ils se trouvent dilués dans leur détention du capital.

Aucun intérêt n’est à verser de façon automatique, même si une rémunération supplémentaire pour les actionnaires est à prévoir, sous forme de dividendes ou de droit de liquidation prioritaires.

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samedi 12 janvier 2013

Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi : retour sur les mesures concernant le financement des entreprises

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Parmi les 8 leviers de croissance identifiés dans le pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi, 2 mesures concernent plus particulièrement le financement des PME.

Levier 2 : garantir aux TPE, PME et aux ETI des financements performants et de proximité

Décision n°2 : Mettre en place une nouvelle garantie publique permettant d’apporter plus de 500 M€ de trésorerie aux PME.

Cette mesure doit mise en œuvre par la BPI (Banque publique d’investissement). Prometteuse, cette idée n’est pas néanmoins pas novatrice : Oséo offre déjà des garanties aux PME, notamment pour leur faciliter l’accès aux emprunts bancaires.

L’intervention d’Oséo (avant la BPI) était déjà considérable, puisque chiffrée en dizaine de milliards d’euros.

Mis en perspective avec l’existant, ces 500 millions d’euros supplémentaires ne sont-ils pas une goutte dans l’océan ? Si l’on voulait réellement redynamiser le financement des PME, ne faudrait-il pas y ajouter plusieurs milliards ?

Décision n° 3 : Établir un plan d’actions pour lutter contre l’allongement des délais de paiement.

Les PME pourraient recourir à l’administration pour forcer le respect des délais légaux. L’Etat promet également de réduire le décalage à 20 jours d’ici 2017.

Il est certes nécessaire de réduire les délais de paiement et tout particulièrement ceux émanant de l'Etat, réputé pour sa lenteur à honorer ses factures, mais cela concernera-t-il aussi les collectivités locales, qui sont elles aussi toujours aussi peu diligentes en la matière ?

Cette question de la réduction des délais de paiement n’est pas sans rappeler les inconvénients de la LME (Loi de modernisation de l’économie). Cette loi, qui avait déjà rabaissé les délais de règlements fournisseurs, avait assaini certaines relations et contribué à améliorer la trésorerie de quantité de PME. En revanche, toute une catégorie s’est trouvée lésée, car exclue du champ d’application, et a vu son besoin en fonds de roulement augmenter. Les entreprises exportatrices, notamment, se sont retrouvées obligées de payer leurs fournisseurs plus tôt, sans pouvoir demander des efforts similaires à leurs clients étrangers.


Décision 4 : Créer la Banque Publique d’Investissement (BPI) début 2013

Le pacte propose que le « livret d'épargne industrie » (en remplacement du LDD, Livret de développement durable) soit davantage mobilisé en faveur des PME. Cette décision reste très floue : dans quelle mesure cette épargne pourra-t-elle être mobilisée ?

De même, les 42 milliards d’euros de budget gérés par la BPI sont pour grande partie une simple consolidation des budgets individuellement gérés par les entités préexistantes (Oséo, CDC Entreprises, FSI…). Il est néanmoins difficile de comparer précisément cette allocation globale avec le montant actuel, tant les chiffres sont difficiles à obtenir. 

Le redéploiement des 2 milliards d’euros du PIA (Programme des investissements d’Avenir) vers cinq secteurs prioritaires sont une simple réallocation de fonds déjà existants.

On peut donc se demander où est le véritable changement, si ce n’est, on l’espère, une meilleure clarification et lisibilité des rôles des différentes entités composant la BPI (Oséo, CDC Entreprises, FSI, FSI Régions….).

Il est également proposé de développer une activité de capital risque au sein de la BPI, rôle jusqu’ici déjà assumé par CDC Entreprises. Il est en outre précisé qu’elle pourrait intervenir au travers de titres de capital sans droit de vote. Ce mode d’intervention est novateur, puisqu’à mi-chemin entre les investissements avec droit de vote classiques (aujourd’hui réalisés par le FSI ou la CDC) et les Obligations convertibles (OC, souscrites par Oséo). Cette mesure est intéressante, car elle permet de décorréler investissement financier et gouvernance, en évitant que la dilution des fondateurs au niveau du capital ne se traduise par une perte de pouvoir trop importante.

Décision 5 : Encourager le financement des entreprises par la réforme de la fiscalité de l’épargne

Cette mesure semble intéressante, mais elle est tellement peu détaillée qu’il est difficile d’en mesurer la portée. D’autant que les réformes fiscales récentes ne vont pour le moment pas dans le sens des épargnants. Cette mesure est-elle à relier avec la décision n°7 ?

Décision 6 : Recentrer les banques sur leur cœur de métier.

L’idée semble être, au travers d’une loi bancaire, de repositionner les banques dans leur rôle originel, à savoir financer l’économie. Là encore, l’annonce est trop floue pour en analyser l’impact.

Décision 7: Faciliter l’accès des PME et des ETI aux marchés des capitaux

On évoque depuis longtemps un PEA « spécial PME ». A chaque fois, l'on se heurte à sa difficile mise en place. Seul un pourcentage limité de ce PEA ne pourra en tout état de cause être investi dans les PME. En effet, si l’on veut continuer de garantir l’essence même du PEA, c’est-à-dire, la capacité pour son détenteur de le liquider ou de vendre partie de leurs parts, à tout moment, il est essentiel de garantir un niveau minimum de liquidité au niveau des titres investis. Or, il est plus difficile de vendre rapidement des actions de PME à un cours prédéterminé, que celles de grandes entreprises cotées.

Ceci freine alors la liquidité du placement et rend nécessaire l’investissement dans d’autres titres plus liquides dans le PEA (monétaire, actions cotées…), réduisant in fine la part accordée aux PME.


Levier 7 : Faciliter la vie des entreprises en simplifiant et stabilisant
leur environnement réglementaire et fiscal

Décision 26 : Stabiliser, sur la durée du quinquennat, 5 dispositifs fiscaux importants pour l’investissement et la vie des entreprises.

Cette mesure concerne à la fois les incitations fiscales relatives à l’investissement dans les PME (réduction ISF-TEPA et loi Madelin), mais également le CIR (Crédit d’impôt recherche), le dispositif JEI (Jeune entreprise innovante) et le CET (Contribution économique territoriale).

Cette annonce est une véritable bonne nouvelle, si ce n’est la meilleure, dans un contexte de relative instabilité fiscale en France.

Il est néanmoins dommageable que certains dispositifs n’aient pas été renforcés. On regrette, par exemple, le fait que le CIR ne soit pas davantage redirigé vers les PME. Les grandes entreprises en restent encore les grands bénéficiaires. De même, le dispositif de réduction fiscal au titre de l’investissement dans les PME demeure très timide : seuls 18% des montants investis par un particulier peuvent être déduits de son impôt sur le revenu.


Décision n° 27 : Engager à court terme cinq chantiers de simplification des démarches
des entreprises.

La mise en place d’un « guichet unique » permettrait notamment aux entreprises de ne fournir qu’une seule fois les mêmes informations à l’administration, de simplifier l’accès aux aides et subventions publiques.

Une fois mise en œuvre, ce guichet fera gagner un temps considérable aux entreprises. Le calendrier de mise en place reste néanmoins à moyen terme. Les dirigeants devront donc patienter au moins deux ans.


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jeudi 10 janvier 2013

Actualités du financement : Le Camping, saison 4, financement public et concours...

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- Avant fin janvier: entreprises du web ou du numérique, profitez d’un coup d’accélérateur en rejoignant Le Camping. Ouverture de la saison 4 !

Le Camping, avec ses 3 premières saisons de start-ups, représente la première initiative permettant d’accélérer le développement des start-ups du web. Les porteurs de projets sont coachés de façon très rapprochée sur les aspects business, design et technologie par des experts. Sur le 36 accompagnées jusqu’ici, 55% ont levé des fonds et 60% ont trouvé des clients.


- Le 22 janvier, de 17h à 20h : atelier sur le financement public des start-ups

Atelier : Financer sa startup, l'atout des fonds publics

Où ? La Cantine, Paris 2ème

- Avant le 15 février : participez au concours des meilleurs applications mobiles en HTML5 et remportez l’un des prix d’une valeur totale de 20.000$

Sencha organise un grand concours, permettant aux lauréats de bénéficier d’une aide financière. Les conditions : utiliser le framework Sencha et présenter une application innovante et design.


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lundi 7 janvier 2013

Les nouveaux fonds de fin d’année sous le sapin pour les start-ups (2/2)

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Suite de l’article :


Des fonds sectoriels

-        Eco-industries et éco-énergies : Demeter 3 Amorçage

Demeter Partners s’allie au FNA, au Fonds Européen d’Investissement, au fonds de Suez Environnement (Blue Orange), Air Liquide et IFP Energies Nouvelles. Doté de 43M€, le fonds est destiné à financer des entreprises européennes (France – Allemagne – Espagne) dans le secteur des éco-énergies (énergies renouvelables, bâtiment durable, efficacité énergétique…) et des éco-industries (traitement de l’eau, de l’air, des déchets, chimie verte…).

-        Numérique : Elaïa Alpha

Elaïa Partners, le FNA, le Fonds Européen d’Investissement, Pactinvest (groupe SMABTP) et des entrepreneurs privés financent le fonds Elaïa Alpha. Réservé aux entreprises innovantes de l’économie numérique, le fonds a été doté de 45M€.
Les tickets d’investissement unitaires vont de 500K€ à 1M€. Le fonds peut également financer les entreprises en pré-amorçage, en investissant entre 100K€ et 300K€.

-        Premier fonds de co-investissement avec les business angels : Angel Source

France Angels, Fédération des réseaux de business angels s’associe au FNA pour créer Angel Source. Géré par iSource et doté, à terme de 30M€, le fonds n’intervient qu’en co-investissement avec les business angels. Pour un 1€ financé par un particulier, Angel Source investira également 1€.

Les entreprises doivent être dans leur phase d’amorçage et présentes sur les secteurs des technologies de l’information, numérique, santé et cleantechs.

Les montants unitaires par entreprise devraient s’échelonner entre 500K€ à 1,5M€.


-        Sciences de la vie : Sofinnova Capital VII

Sofinnova Capital a bouclé sa levée de fonds (Sofinnova Capital VII), accompagnée par CDC Entreprises, dans le cadre de FSI France Investissement, d’investisseurs institutionnels et du Fonds Européen d’investissement.
Doté de 240M€, le fonds est exclusivement dédié aux sciences de la vie, et plus particulièrement à la biopharmacie, l’instrumentation médicale et les biotechnologies industrielles. Les deux-tiers du fonds seront investis dans des entreprises européennes et un tiers dans le reste du monde, principalement aux Etats Unis.
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jeudi 3 janvier 2013

Atelier sur le financement, communiquer sur ses innovations

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- Le 8 janvier : atelier sur le financement des entreprises, Connecting Startups

Tout savoir sur les aides publiques et les financements dédiés aux start-ups en démarrage.



- Avant le 28 février 2013 : JEI et PME/ETI, participez au grand concours d’innovation de Réseau Ferré de France (RFF)

L’occasion est de pouvoir décrocher un contrat avec RFF et de remporter un des trophées, dont les prix vont de 10.000€ à 100.000€.


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Stéphanie Le Beuze - le buzz du financement d'entreprise © 2011 DheTemplate.com & Main Blogger. Supported by Makeityourring Diamond Engagement Rings

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